Les infections urinaires antérieures sont considérées comme un facteur de risque, car elles plongent l’urothélium vésical dans un état inflammatoire chronique plus propice à une réinfection1.
Que nous apprennent les éléments de preuve ?
Une étude prospective de 7 ans menée auprès d’utilisateurs de sondes intermittentes propres a identifié deux facteurs prédictifs2 :
- Les patients présentant un nombre élevé d’infections urinaires au début de l’étude avaient également un taux élevé d’infections urinaires à la fin de la période de suivi
- Les taux élevés d’infections urinaires étaient liés à des volumes de sondages élevés